Thème : Halloween
[Intervenant 3]
Bienvenue chers auditeurs, ce soir seras-tu à la hauteur, C'est le moment de jouer, bienvenue dans notre QG. Tu vas pouvoir participer, et ton savoir nous montrer, Grâce au site de Radio G, tu vas pouvoir avoir avec nous tchater. Bienvenue chers auditeurs, ce soir seras-tu à la hauteur, C'est le moment de jouer, bienvenue dans notre QG.
[Intervenant 1]
Joueurs et joueuses radiophoniques, bonsoir et bienvenue dans notre QG, un quartier général pour s'amuser ensemble, et quand je dis ensemble, c'est avec vous aussi auditeurs, car cette émission est interactive. Rendez-vous sur le site radio-g.fr et ouvrez le tchat pour répondre à nos questions. Alors on est aussi en vidéo sur Youtube, vous cherchez Radio G sur Youtube, vous allez trouver facilement, et puis vous allez nous voir donc en vidéo.
Et pour vous accompagner ce soir, nous avons Florian, bonsoir, Jonathan, Olivier, Clément 1 et Clément 2. Alors vendredi prochain c'est Halloween, alors qu'on aime ou qu'on n'aime pas cette fête venue d'ailleurs, on est obligé d'y passer, et comme on ne recule devant aucune facilité ici, et bien le thème de ce soir est donc Halloween, bienvenue dans notre QG.
[Intervenant 3]
Installez-vous dans votre canapé, ça va être moment de jouer, vous êtes sur Radio G et vous écoutez le QG.
[Intervenant 1]
Alors sur le tchat on dit bonjour à Noélie, à Valentin et à Mappy qui nous ont rejoints pour jouer avec nous ce soir. Bonsoir. Alors pour la troisième fois dans le QG, on accueille notre mamie préférée qui nous donne de bons conseils à l'emporte-pièce.
Alors ce soir il est question de tâches, qui auraient pu être de sang, vu que c'est le thème, en tout cas c'est de la même couleur. Je vous propose d'écouter sa question et on en parle juste après.
[Intervenant 2]
Salut agents du QG, c'est Mamie, voici ma question du jour. Connaissez-vous des astuces pour enlever des tâches de vin rouge sur le tissu ? Allez j'attends tes propositions et après je te donne mes conseils.
[Intervenant 1]
Alors, le savon noir, le savon noir pour les tâches en général. Mais le vin, je crois qu'il faut mettre du sel. Il me semble qu'une fois il m'est arrivé de faire renverser du vin sur un tapis, et j'avais lu qu'il fallait mettre du sel.
Et ça aspire le venin. Du bicarbonate, c'est un truc magique.
[Intervenant 3]
Oui, il y a du bicarbonate, ça traîne toujours.
[Intervenant 1]
Mappy nous dit de mettre du vin blanc. Vin rouge, vin fleurose, saffron rose. Et donc de le feu par le feu.
Peut-être, peut-être. Noélie et Valentin disent du sel. Clément, une autre idée ?
Non, j'en dis pareil, du gros sel. Du gros sel aussi ? Ben écoute la réponse de Mamie.
[Intervenant 2]
Salut là John, ça c'est Mamie. Alors, qu'est-ce que j'apprends ? T'es allé faire le malin chez les copains avec ton petit rouge qui tèche ?
Et maintenant t'as ton T-shirt blanc tout dégueulasse ? Ah ben bravo l'artiste ! On dirait un serial killer qui est assassiné à mode.
Même sans tâche, elle est moche ta floupe. Bon, heureusement que tu m'écoutes. Parce que sinon ton T-shirt, tu peux le jeter directement à la poubelle avec tes espoirs de le remettre un jour.
Alors écoute-moi mon petit bacus raté. Et surtout, fais pas n'importe quoi. D'abord, tu frottes pas.
Non mais je te vois ici avec ton sopalin en train de t'acharner comme un malade. Tu vas juste étaler ta misère sur le tissu. Première règle, tu prends du sel.
Du gros sel si t'en as, sinon du sel fin ça marche aussi. Tu recouvres toute la tâche. Généreusement, comme si tu salais un poisson.
Le sel, il va boire le vin comme une éponge. Alors t'en mets partout. Tu laisses poser dix minutes minimum.
Pendant ce temps-là, tu peux aller te faire un café ou pleurer sur ton sort comme tu veux. Après, tu secoues ton T-shirt pour faire tomber le sel. Et là, magie.
Tu vas voir que le sel est devenu tout rouge et il a pompé le vin comme un alcoolique au bistrot. Maintenant tu rinces à l'eau froide. Pas d'eau chaude, hein.
L'eau froide. Parce que l'eau chaude, ça cuit la tâche. Et là c'est foutu mon pote.
Tu rinces bien jusqu'à ce que l'eau soit bien claire. S'il y a encore des traces, tu prends du savon de Marseille. Pas l'amère parfumée, le vrai.
Et tu frottes délicatement avec. Puis tu remets à la machine normalement. Et puis si t'as pas de sel sous la main, tiens-toi bien, tu prends du vin blanc.
Ouais, ouais, ouais, tu m'as entendu. Le blanc, ça neutralise le rouge. C'est chimique, mon gamin.
Tu verses doucement sur la tâche et tu tamponnes avec un H-Prop. Voilà, maintenant tu sais. Et la prochaine fois, tu bois dans un verre comme un être civilisé, au lieu de te vautrer comme un cochon.
Et je te rappelle que l'alcool est dangereux pour la santé. T'as vu ma gueule ? Bah ce sera la tienne si t'abuses.
Allez, salut Ed Jones. C'est Mamie dans la rayo. Tain, il est moche son t-shirt.
Même en serpillage, j'en veux pas.
[Intervenant 1]
Bien, écoutez, bravo, ils avaient tous raison. On m'a appuyé, t'es bon, on m'a appuyé aussi. Le vin blanc, j'avais pas.
Pas mal, ouais. Très bien, si vous aimez Mamie, vous pouvez la retrouver sur les conseils de Mamie dans l'onglet podcast plus du site radio-g.fr. Alors le thème de ce soir, c'est Halloween. Une fête aussi pour enfants jeteurs de sorts.
Et ça nous coûte bonbons. Voici la chronique de Florian. Et bah oui, effectivement, je vais vous parler de bonbons ce soir.
De plein de bonbons différents. D'ailleurs, j'ai amené une petite boîte de bonbons. Quel régal.
Puisqu'à chaque bonne réponse, il y aura un petit paquet pour le gagnant. Les auditeurs attendent aussi, on leur enverra. On leur enverra, bien sûr.
Alors du coup, moi j'ai fait un petit quiz sur les bonbons. Je vais vous donner des indices. Il faudra deviner de quels bonbons il s'agit.
Ah, d'accord. Bonbons ou confiseries récents.
[Intervenant 3]
Que des bonbons qui se mangent, j'en ai d'accord.
[Intervenant 1]
Récents ou pas récents, qui se mangent, bien sûr. Qui se mangent. Non, parce que je te vois venir, Jonathan.
J'ai très peur de toi à chaque fois. Donc, je veux vraiment être sûr. Alors, on va commencer par le mot petit.
Des petits. Alors, des petits, des petits. Paragébus, c'est des petits bonbons.
[Intervenant 3]
Ah oui, ça pourrait être des paragébus.
[Intervenant 1]
Il ne faut peut-être pas citer de marques, peut-être. J'en cite au moins une trentaine, donc c'est bon. Non, c'est Fres Tagada ?
Martis ? Non. Alors, je vais donner...
Skittles ? Non, Colori. Oh, les Smarties.
M&M's ? Non, non, non, non. Smarties.
Allongé. Tic-tac. Sur Internet, les pérousses.
Ah non, les carres en sac. Tic-tac, on n'est pas loin, effectivement. C'est les carres en sac.
[Intervenant 3]
Ah, les carres en sac.
[Intervenant 1]
Les carres en sac. Et le dernier indice, c'était Réglis.
[Intervenant 3]
Ah, oui.
[Intervenant 1]
Et oui, puisqu'en fait, les carres en sac ont été créées au XIXe siècle par la réglisserie Carénou et Thur, qui se situait à Moussac, dans le Gard. Très joli village du sud. Et du coup, carres en sac, ça vient de Carénou.
Du coup, c'est le patron de la réglisserie. Carres, juste des carres. Et c'est des carres en sac.
C'est pas attaché, en fait.
[Intervenant 3]
C'est des carres en sac, en sachet.
[Intervenant 1]
Ah, en sachet. Et oui. Oui, Clément, tu peux prendre, voilà.
Parfait. Un sachet. Mais c'est pas des carres en sac, toi.
Ça a été racheté ensuite par Zan, puis Haribo. D'accord. Et c'est un grand classique des années 80.
Les carres en sac. Mais c'est pas très bon, le réglis, quand même, non ? Non, mais ça n'a rien à faire dans une boîte de bonbons, le réglis.
C'est franchement, le réglis. C'est toujours le truc qui reste à la fin. Mais les gamins aiment ça, le truc rond, le truc tourbillon, le réglis.
Mais c'est dégueulasse. Dans les boîtes où il y a tout, c'est à la fin, ce qu'il reste, c'est le réglis. Mais ça revient pas mal, le réglis, parce que maintenant, il y a des mixtes un peu de réglis avec de la pâte autour.
[Intervenant 2]
Ouais, mais c'est un problème.
[Intervenant 1]
Et vous dites là ou le réglis ? Le réglis. Le réglis.
Le bonbon réglis. Comme ça. Alors, ensuite, deuxième bonbon.
Dur. Ah, les berlingots, là, il m'a dit longtemps. Non, harlequin.
Alors, des fois, il peut y avoir plusieurs possibilités. Le dernier indice, en général, vous trouvez. Alors, chou pas et sucette.
Caramel. Lécher. Ah, donc c'est chou pas, chou pas.
Carambar. C'est pas une sucette, mais ça peut y ressembler. De loin.
Chou pas. Chou pas, chou pas. Non.
De loin. De loin. C'est pas du carambar.
Alors, c'est long. Ah, carambar, carambar. J'ai dit carambar.
[Intervenant 4]
Ah, il l'a dit. Ouais, mais c'est pas dur.
[Intervenant 1]
Ah, si, c'est dur. Bon. Ouais, ça dépend.
Bon, c'est pas mal. Souvent, aux fruits, ils sont mous. Les carambars aux fruits sont mous.
Les carambars caramels sont mous. C'est la réponse, carambar ? Pas du tout.
Ah, d'accord. Dernier indice, coquillage. Ah, les trucs où on lèche, là.
Ah, oui, Bruno.
[Intervenant 2]
Oui.
[Intervenant 1]
Alors, comment ça s'appelle ? C'est des coquillages. C'est un Pokémon, aussi.
Je sais pas ce que c'est, mais bon. Ah, bon. C'est le nom du coquillage, non ?
Non, pas du tout. Pas du tout ? Non, non, non.
Palourde. Bah, oui, c'est ça.
[Intervenant 2]
Ça ressemble à une palourde.
[Intervenant 1]
Et puis, on lèche l'intérieur. Dracaufeu. Sur internet, vous savez comment ça s'appelle ?
Vous savez, il y a des... Ah, en fait, c'est un espèce de truc qui... En fait, c'est un coquillage.
Un coquillage en plastique. Et c'est une pâte qui coulait, en fait, dans un coquillage. Et ça se lèche, en fait.
[Intervenant 4]
C'est ça.
[Intervenant 1]
D'accord.
[Intervenant 4]
Le roux doudou, c'est aux fruits. Les roux doudou.
[Intervenant 1]
Roux doudou.
[Intervenant 4]
Ah. C'est ça ? C'est ça.
[Intervenant 1]
Napi, voilà. C'est les roux doudou. Alors, les roux doudou sont apparus en 1908.
Et en fait, c'était des vrais coquillages à l'époque. Du coup, ils ramassaient des roux doudou. Avec des vrais à l'intérieur, il y avait le coquillage.
Il y avait la bestiole à l'intérieur. C'est bon ? Et du coup, tu coules une pâte...
Tu dis oui. Il y croit. Et du coup, tu coules une pâte sucrée, en fait.
C'est du sucre ou du glucose directement dedans. Et c'était très populaire jusque dans les années 70. Et depuis, ça s'est un peu perdu, quand même.
Alors, Noélie et Valentin nous disent, est-ce qu'on pourrait donner des bonbons de moins de 100 ans ? C'est possible. Ah ben, c'est à moins de 100 ans, là.
Bon alors, un truc plus récent. Les trucs plus récents. Ben, c'est envoyer à Mappi.
Bon, allez. Facile. Moi, je peux lui donner demain.
Je prends un sachet. Alors, c'est bon ? Ah oui, je peux lui donner demain.
Bon, Mappi, on t'en ramènera demain, alors. On t'en ramènera pour demain, Mappi. Colabise.
Merci. On connaît bien nos éditeurs, disons. Je me demande si Olivier va vraiment pas le manger ce soir.
Mappi, tu as noté. Je pense que Mappi ne verra jamais le jour de ce paquet.
[Intervenant 4]
C'est clair.
[Intervenant 1]
Il en restera un. Réclame bien ton sachet demain. Alors, le mot indice, c'est acide.
Ah, c'est les bouteilles de coca, là. Tu sais, les bouteilles de coca. Non, langue de chat.
Non. Non. Les têtes brûlées.
Oui, les têtes brûlées. Ah, les têtes brûlées. C'est vrai que c'est vrai.
Alors, j'avais les mots défi et explosif. Effectivement, c'est un vrai défi parce qu'il faut s'accrocher. Ça arrache bien la tête.
Donc, du coup, c'est une confiserie qui est restée plutôt confidentielle jusque dans les années 2000. Ça circulait, mais il n'y en avait pas beaucoup, des têtes brûlées. Et en fait, la notoriété, elle n'arrive que vers les années 2005 et 2008.
Enfin, entre les deux, là. Et du coup, parce qu'il y a une vraie com sur les têtes brûlées. Et du coup, voilà.
C'est vrai que c'était très hype quand j'étais gamin. À la fête foraine, les têtes brûlées, c'était le truc à avoir pour être stylé, quoi. Ah ouais ?
Mais pour montrer qu'on était fort et qu'on les prenait, c'est ça ? Maintenant, ça s'est descendu un peu. Ouais, 2008-2010, c'était vraiment le...
Et c'est fabriqué en France, dans le nord de la France, du coup. D'accord. À côté de Lille, vous avez les têtes brûlées.
Ensuite, on passe à Caramel. Alors, Carambar ? Non.
Fort. Un caramel fort ? Ah, les trucs du genre...
Western, western, je ne sais pas quoi, là. Western original.
[Intervenant 2]
Oui, oui, c'est ça, oui.
[Intervenant 1]
Les trucs originals, où il est rond, là. Non. Alors, les caramels forts.
Notre indice, Sauvage. Un caramel sauvage ? Parfum, ça.
Oui, c'est un parfum. Un caramel sauvage ? Hum.
Non. Une forme particulière, il y a quoi ? Non, en fait, l'emballage est particulier.
Ah. Sauvage, d'accord. Sur internet, aidez-nous, s'il vous plaît.
Caramel sauvage. Ensuite ? Fort.
Fort, bah oui, ça va, je suis fort. Le goût est assez particulier. Prononcé.
[Intervenant 2]
D'accord.
[Intervenant 1]
Et assez caractéristique de ce bonbon-là, d'ailleurs. Les trucs choco, je ne sais pas quoi, là, non ? Ce n'est pas ça ?
Non. Non, il y a des bonbons de la même marque, au fruit. Ah bon ?
Est-ce que c'est un vieux bonbon ? Eh bien, ouais, plutôt.
[Intervenant 3]
Ah oui.
[Intervenant 1]
Plus de 100 ans ? Enfin, mi-vieux, quoi. Mi-vieux.
J'y crois pas du tout. Il a été créé en 1961 par Créma. Alors, Créma, Créma.
Ah, les Crémas, du coup ? Ouais, mais les Crémas, lesquels ? Les trucs avec les tachés, là.
C'est ça, tachetés, là, non ? Ouais, ouais, ouais. Mais comment ils s'appellent ?
Avec le petit léopard dessus. Oui, c'est ça. C'est les Batna.
Ah, c'est ça, le nom. On n'oserait pas trouver, là, là. Mais ils ne sont pas très bons, ceux-là, non plus.
Eh bien, alors, justement, soit on aime, soit on n'aime pas, effectivement. En fait, ça a un goût assez unique, de caramel, de réglisse. Ma pire, elle l'a trouvé, mais elle ne fait que ça pour faire des bonbons toute la journée ?
Ouais, non, là, c'est inquiétant. Elle doit remanger. Donc, ça a un goût entre caramel, réglisse et anis, un peu.
[Intervenant 3]
Ouais, c'est de l'anis. Mais voilà, c'est ce que je dis, ce n'est pas très bon.
[Intervenant 1]
C'est souvent le truc que tu prends dans le paquet de créma et, en fait, tu recraches dans la poubelle, quoi. Ou c'est ceux que tu laisses à la fin, en fait. Un deuxième sachet, ma pire.
Encore ? On va lui emmener là-bas, c'est le plus joli du sachet. Alors, un autre ?
Vous voulez un autre bonbon ?
[Intervenant 2]
Ouais, allez. Vas-y, vas-y.
[Intervenant 1]
Lequel je fais ? On va dire mâché. Crocodile ?
Non. Oui, mâché. Mâchewingum ?
Peut-être mâchewingum, ouais. Non. Malabar ?
Ben non, ce n'est pas mâchewingum. Ce n'est pas mâchewingum. Comme elle est caramel, avec du caramel ?
Carambar ? Il peut y avoir du caramel. C'est croquant ?
C'est croquang, c'est gourmand. C'est assez dur au début. Ouais, carambar, quoi.
Toujours pas. Un autre indice, poudreux. Alors, un truc poudreux, il y a les bouteilles de coca, là, qui sont…
Et mâchewingum. Ça a vraiment une texture vraiment poudreuse au-dessus, la surface. Ah bon ?
C'est pas mammouth ? Non. Il y a une sorte de mammouth, aussi, dans les années 2010.
C'est genre les truffes, quoi, non ? Pas les couilles de chameau, là, les truffes. Il y a ça qui existe, le mammouth.
Alors, boule. C'est en forme de boule. Ah oui, ça y est, je vois ce que c'est.
Effectivement, il n'y a pas d'emballage. C'est de la mode coco. Et ça smash.
Et ça smash un peu, ouais.
[Intervenant 2]
Effectivement.
[Intervenant 1]
Il n'y a pas de mâchewingum au milieu ? Non. Non ?
Il y a différentes couleurs ? C'est une espèce de pâte.
[Intervenant 4]
C'est très arc-en-ciel.
[Intervenant 1]
Il y a différentes couleurs, ouais. Alors, il y a des soucoupes. Ça existe, soucoupes ?
Oui, ça existe, mais c'est pas ça.
[Intervenant 4]
Non, d'accord. C'est pas ça.
[Intervenant 1]
Alors, en fait, c'est des Kissmash. Oh là là. C'est quoi ?
C'est énorme. C'est quoi, ceux-là ? Les Kissmash.
C'est pas possible. Non, en fait, c'est les boules qui va… C'est ça.
Je pensais qu'il y allait un bonbon.
[Intervenant 4]
Kissmash.
[Intervenant 1]
Il y a des boules blanches. Il y a des boules blanches, il y a des boules vertes, il y a des boules roses. D'accord.
Il y a des boules bleues. C'est vraiment… C'est hyper beau.
C'est des Kissmash. Ou c'est des caranèges aussi. Oh, c'est bien, c'est mignon.
[Intervenant 2]
Caranèges. Ah, caranèges.
[Intervenant 1]
Ça lui parle. Non, ça me parle, oui. Mais du coup, c'est des gros bonbons.
C'est des gros chewing-gums, en fait. Ouais. Non, non, non.
C'est… Non, c'est… C'est rond, mais c'est…
Kissmash. C'est pas… Bah, c'est assez gros quand même pour un bonbon, mais c'est pas…
Bon, ma pie ne connaît pas. Elle précise qu'elle est diabétique, donc voilà. Ah, super.
Je te garde. Ouais, on va lire. Non, bah tant pis.
Alors, allez. Le dernier, du coup. Oui, le dernier.
Alors, c'est coloré. Crocodile. Non.
Esmertise. C'est fondant. Ah, fondant, coloré.
Ça paraît pas fondant comme ça, mais en fait, ça le l'est. Ah, les fraises tagada ? Non, mais ça aurait pu.
C'est petit. Ah, c'est petit. Ah, c'est les dragébus.
On l'a déjà dit. Presque, presque les dragébus. Et à la base, c'est rouge.
Aujourd'hui, il en existe plein de couleurs, mais à la base, c'était que des rouges. Ah bon ? Ça apparaît progressivement dans les paquets.
Il me semble, je me souviens. Rouge ? Ouais.
Pritsmartise. Alors, en fait, c'est le petit frère du dragébus. Ah, c'est les petits trucs, là ?
Ah, c'est pas les fraises, là ? Non ? Donc, tic-tac, non plus, ils disaient.
C'est rouge, un peu, en forme d'espèce de fraise.
[Intervenant 2]
Harlequin.
[Intervenant 1]
Non plus. Harlequin. Les fraises sont effectivement rouges, du coup, dans les paquets, où tout est mélangé, tu sais.
Oui. Ah, c'est ça ? Ah, non.
Ouais, mais c'est pas ça. Alors, c'est les floppies. Oh là là, j'ai pas trouvé.
[Intervenant 3]
Il invente les noms, c'est pratique, maintenant.
[Intervenant 1]
C'est, voilà, c'est...
[Intervenant 4]
C'est pour ça qu'il est sûr qu'on trouve pas. Tu voulais pas qu'on gagne des bonbons, en fait ?
[Intervenant 1]
Non, en fait, il voulait garder pour lui les bonbons, c'est pas possible. Mais c'est marqué sur les paquets. D'accord, bon bah, va pour les floppies, alors.
[Intervenant 3]
C'est bien.
[Intervenant 1]
C'est le meilleur. Bon, bah écoute, merci, en tout cas, puis merci de nous avoir amené des bonbons, aussi. Dans un instant, Clément nous parlera aussi de nourriture, mais plus salée, vous verrez.
Et on parlera cinéma avec Olivier, mais aussi avec Jonathan. Eh oui. Mais avant, place à la peur, avec Clément II.
[Intervenant 3]
Clément, Clément, Clément, Clément II, c'est la question de Clément, c'est la question de Clément II.
[Intervenant 1]
Il me fait toujours autant rire. C'est celui préféré du lien, donc... Ah, bah il adore, il jingle, je sais bien, donc...
C'est vrai que c'est le générique qui fait peur, il fait très très peur. Oui, déjà, des génériques, c'est bon. Donc effectivement, pour cette télématique Halloween, on va parler de ce qui nous fait peur.
Que ce soit les sorcières, la dame blanche, ou alors Soso quand elle chante.
[Intervenant 2]
On va parler de choses vraiment effrayantes.
[Intervenant 1]
Je t'avais marqué dans le conducteur. Non, c'est drôle. Et plus précisément, on va s'amuser autour des noms des peurs.
Et oui, il y en a plein. Allez, première question. Qu'est-ce qu'un homophobe ?
Attention, c'est une vraie question, on ne va pas parler de sexualité ici. Non, je parle bien de la nomophobie. Qu'est-ce qu'un homophobe ?
Qu'est-ce que la nomophobie ? A. La peur d'être séparé de son téléphone.
B. La peur d'être vu nu en public. C.
La peur des éléphants. Nomo ? N-O-M-O ?
N-O-M-O. C'est quoi le deuxième ? La peur d'être vu nu en public.
Ou C. La peur des éléphants. Bon, éléphants, je ne vois pas.
Nomo, éléphants, je ne vois pas trop.
[Intervenant 2]
J'en ai la deux.
[Intervenant 1]
La peur d'être vu nu en public. Non, c'est la peur d'être séparé de son téléphone. Nomo ?
Je ne sais pas. L'étymologie ? Je vous la dirai pour la prochaine émission.
Je n'ai pas l'étymologie. C'est vrai que c'est un truc qui se fait de plus en plus. Forcément.
Ensuite, qu'est-ce que la votaphobie ? Est-ce que c'est la peur des élections ? Est-ce que c'est la peur de la foudre ?
Ou est-ce que c'est la peur des factures ? Alors, ça pourrait être Volta pour la foudre. Mais non.
Je pense que c'est les factures. C'est le moins simple.
[Intervenant 2]
La foudre.
[Intervenant 1]
Toi, tu diras la foudre. Moi, je dis factures. Eh bien, c'est les factures.
En fait, il y a deux termes techniques pour désigner le fait de ne pas payer ses factures. Il y a la votaphobie, en premier. Et puis, dans ce qu'on appelle dans le jargon, en deux, avoir la flemme.
Oui, aussi. Donc, votaphobie, c'est la peur des factures.
[Intervenant 2]
On avait des hommes politiques.
[Intervenant 1]
Oui, il y a la foudre. Ensuite, qu'est-ce que la bélénophobie ?
[Intervenant 3]
La peur des aiguilles. Béléno.
[Intervenant 1]
La peur des aiguilles. La peur des religions ou la peur des pompiers ? La peur des religions.
Bélénos. C'est bizarre quand même. Pourquoi tu dis religion ?
Parce que Bélénos, dans la stricte, c'est obliques. Par Bélénos. Ah !
Le niveau. Il y a la culture quand même. J'aurais cru qu'il sortait un truc, un livre et tout.
C'est fort, parce que ce n'est pas du tout ça. C'est la peur des aiguilles. C'est la B ?
Non, c'est la A. Ma B avait dit la B. Plus précisément, c'est la peur des aiguilles, des piqûres et des objets pointus.
Et pourquoi Bélénos ? Vous avez peur, vous, des aiguilles ? Oui.
Tout ce qui est vaccins. Surtout aiguilles tricotées, moi. Tu fais beaucoup de tricots.
Ensuite, qu'est-ce que la chérophobie ? La quoi ? La chérophobie.
Ce qu'on peur quand c'est trop cher, c'est ça ? Les prix trop forts. Est-ce que c'est la peur de tomber amoureux ?
Est-ce que c'est la peur d'être heureux ? Ou est-ce que c'est la peur d'avoir un cancer ? Ah oui, c'est ça.
C'est la peur d'avoir un cancer. On va essayer sur internet. Tu redonnes les trois pour que je réponde.
La peur, en A, de tomber amoureux. B, la peur d'être heureux. C, la peur d'avoir un cancer.
[Intervenant 2]
Chérophobie.
[Intervenant 1]
Pourquoi tu dis que c'est la peur d'avoir un cancer ? Je ne sais pas, je le sens. Il n'y a pas le cancer de Chiron ?
Chéro, Chéry. C'est chérophobie, non ? Peut-être que c'est chéro, peut-être.
Mapidilacé. Noé et Valentin disent la C. Mapidilacé.
C, la B, c'est la peur d'être heureux. Je me suis renseigné un petit peu. Là, j'ai fait le travail.
Ce n'est pas tant le fait d'être heureux qui fait peur, c'est surtout la peur de tout perdre quand on est heureux. En fait, un chéro ou un chérophobe pense que le beau-téur a un coût, celui d'être malheureux. Donc, il préfère éviter.
Il dit qu'au moins, il ne descendrait pas. C'est tendu comme truc. C'est pour ça qu'on parle de peur.
Il n'aime pas les sensations fortes, les émotions. Il a peur de perdre. Un petit quelqueur n'existe pas cette fois-ci.
Je vais vous donner quatre propositions. Il y en a une seule qui n'existe pas. Les trois autres existent.
Petit A, la carpophobie, la peur des fruits. B, la nanopabulophobie, la peur des nains de jardin à brouettes. À brouettes !
C'est précis. C, la scamatolaphobie, la peur de se faire uriner dessus. Ou D, l'aptophobie, la peur d'être touché par quelqu'un.
Il y en a une seule des quatre qui n'existe pas.
[Intervenant 3]
Les nains de jardin à roulettes, à brouettes.
[Intervenant 1]
À la limite, nains de jardin, on pourrait imaginer. Il y a un mot pour ça ? Oui, c'est possible.
Je pense que ça existe. La A, c'est la carpophobie, c'est la peur des fruits. En B, c'est la nanopabulophobie, la peur des nains de jardin à brouettes.
La C, c'est la scamatolaphobie, la peur de se faire uriner dessus. Ou la D, c'est l'aptophobie, la peur d'être touché par quelqu'un. Il y en a une seule qui n'existe pas.
Moi, j'aurais dit l'urine. L'urine, qui n'existe pas. Jonathan ?
[Intervenant 2]
Toi, tu dis la peur des fruits, ça n'existe pas.
[Intervenant 1]
Oui, scato, c'est plutôt caca. C'est scamatolaphobie. Ah, scamalt.
Je reste sur les nains de jardin. Clément, tu dis quoi ? Nains de jardin.
C'est Jonathan qui est bon. C'est la peur de se faire uriner dessus. Je l'ai totalement inventé.
Le scamatolaphobie, c'est moi qui l'ai inventé. Qui a peur des nains de jardin à brouettes ? C'est pour ça que j'ai eu ça.
C'est incroyable. En fait, ça vient des lutins, en lien avec... Pourquoi à brouettes ?
Il y a marqué ça sur les plusieurs sacs. Les fruits, pour qu'on n'aura peur des fruits. Il y a des gens qui ont peur des fruits, mais ça peut être les fruits rouges.
On termine par la dernière. Pas de proposition cette fois-ci. Qu'est-ce que la phobophobie ?
C'est la peur de l'enfer. Ces gens-là sont dans un merdier. J'ai peur d'avoir peur.
J'ai peur d'avoir peur des fruits. Ça va être différent. Merci Clément.
Vous êtes toujours sur Radio G, on est en direct. Vous pouvez jouer avec nous, comme Noéli, Valentin, Mappi, tout ça, sur le tchat. Vous allez sur radio-g.fr et vous parlez avec nous directement sur le tchat. Vous pouvez aussi nous voir en vidéo, en direct, sur la chaîne YouTube de Radio G. Et tu vois, j'avais marqué ça sur le conducteur. Sonia n'est pas là ce soir.
On a un peu la sociophobie. Le moment où elle chante, c'est notre plus grande peur. On l'embrasse quand même.
Jonathan, lui, rêve de prendre la place d'Olivier, à la radio uniquement. Du coup, ce soir, il nous parle cinéma. Il a le mérite d'être plus court.
Oui, c'est court et efficace. Est-ce que vous aimez les films d'horreur ? Oui.
Est-ce que vous êtes expert en films d'horreur ? Pas du tout. J'ai préparé un quiz avec des petits extraits de moments du quiz de films d'horreur.
Des extraits ? Des extraits, carrément. Vous allez devoir essayer de trouver à quel film ça correspond.
On écoute le premier ? Tu peux y aller.
[Intervenant 6]
Non, c'est que c'est toujours le même scénario. Toujours le même débile mental qui poursuit une jolie petite munette avec des gros seins qui court s'enfermer dans sa chambre au lieu de se tirer de chez elle. C'est consternant.
[Intervenant 1]
Tu es toute seule dans cette grande maison.
[Intervenant 6]
Tu n'as rien trouvé de plus original. Là, franchement, tu me déçois, Randy.
[Intervenant 1]
Peut-être parce que je ne suis pas Randy. Alors, Mappy, l'exorciste.
[Intervenant 2]
Non, c'est Scream. Attends.
[Intervenant 1]
Scream à ma gauche.
[Intervenant 2]
Moi, c'est Scream.
[Intervenant 1]
C'est le premier avec le téléphone. Oui, c'est ça.
[Intervenant 2]
C'est très drôle.
[Intervenant 1]
Assez basique, j'avoue. Donc, c'est bien Scream. Mais c'est à mourir de rire celui-là.
Pour moi, ce n'est pas de l'horreur. C'est qu'on rigole. Quand on a vu la parodie, on ne peut plus voir le premier comme...
C'est vraiment caricatural. L'original, à la base, il fait peur quand même. C'est pas censé être bon.
Oui, c'est peut-être la parodie dont je parle.
[Intervenant 2]
C'est une ouvie.
[Intervenant 1]
Ça reste léger. Elle a des morts dans la chaîne, on n'y croit plus. J'ai un petit lavis dessus.
C'est sorti en 1996. Dans ce film, dans une petite ville américaine. Ça se passe dans une petite ville américaine.
Elle est secouée par une série de meurtres perpétrés par un tueur masqué, obsédé par des films d'horreur. Son masque, surtout, est très connu.
[Intervenant 3]
Avec le visage qui descend.
[Intervenant 1]
C'est ça. Next, vas-y. Alors...
C'est facile. C'est ça. Il y a une série qui a commencé.
[Intervenant 3]
Ah bon, sur ça ?
[Intervenant 1]
Sur quoi ? Sur ça. J'ai un peu donné la réponse, je crois.
C'est ça. A vous de me dire.
[Intervenant 3]
C'est quoi ça ?
[Intervenant 1]
C'est ça ? C'est bien, c'est ça. Que peux-tu nous dire ?
[Intervenant 3]
Je peux faire l'émission comme ça.
[Intervenant 1]
Qu'est-ce que tu peux nous dire sur ça ? On peut le dire en anglais, si vous voulez. C'est It.
Et voilà. Enfin bref, on s'embourbe. Sur ça ?
Mais ça n'a pas de titre, alors, du coup. C'est ça ? C'est ça.
C'est juste. Qu'est-ce que je peux dire ? Il y a sept enfants qui sont confrontés à une entité maléfique qui prend la forme d'un clown terrifiant nommé Pennywise.
Et ce monstre se nourrit de leurs peurs et réapparaît tous les 27 ans pour semer la terreur dans la ville. C'est horrible comme film. C'est un auteur.
Stephen King. C'est ça. C'est ça.
Lorraine et moi, nous pensons que votre maison a besoin d'une purification.
[Intervenant 4]
D'un exorcisme.
[Intervenant 5]
Quand on est entré dans votre salon, alors peu importe où vous irez, cette entité malveillante s'est accrochée à votre famille et va se nourrir de vous.
[Intervenant 1]
Un peu plus dur. Ce n'est pas l'exorciste, du coup ? Non, ce n'est pas l'exorciste.
Amityville non plus. Conjuring ? Conjuring.
Conjuring ? Tout le monde dit Conjuring ? Je ne sais pas.
Pour l'instant, ils ne disent rien. Ils ont peur. Effectivement, c'est bien Conjuring.
Les dossiers Warren. C'est un extrait du premier sorti en 2013. Dans ce film, Ed et Lorraine Warren sont appelées pour aider une famille terrorisée par une présence maléfique dans leur ferme isolée.
Ce film a très bien fonctionné en France et a contribué à lancer l'univers cinématographique Conjuringverse, j'ai appris le mot, qui est devenu l'une des franchises d'horreur les plus lucratives de l'histoire du cinéma. C'est un vrai ? Oui, c'est basé sur les personnages d'Ed et Lorraine Warren qui ont vraiment existé.
Next !
[Intervenant 4]
Conjure est à côté. On va filmer tout ce qui nous arrive. Avec un peu de chance, quand on aura des images, on comprendra ce qui se passe et on prendra les mesures nécessaires.
Tu me fais un striptease ?
[Intervenant 5]
Pas devant ta caméra, en tout cas. Tu veux que je dorme avec ça dans la pièce ?
[Intervenant 4]
Tu sais comment déclencher ces phénomènes ?
[Intervenant 6]
En fait, là, tout de suite, ils ont déjà commencé.
[Intervenant 1]
Plus difficile ! Même juste l'audio, il m'a un peu flippant. Ce ne serait pas un caméra à l'épaule ?
[Intervenant 2]
C'est un peu ça. C'est un nom d'ailleurs.
[Intervenant 1]
C'est un bon projet. C'est un beau projet. On vous laisse répondre un petit peu.
Moi, j'en dis rec. Ce n'est pas un projet. Si, c'est projet.
Ça commence par projet. Non, ce n'est pas ça. Vous pensez à quoi ?
Peut-être projet Itch ? Non, ce n'est pas ça. Ah, c'est ça !
(Transcrit par TurboScribe.ai. Passez à Illimité pour supprimer ce message.)
[Intervenant 1]
C'est un truc à deux balles, qui fait peur, où il se passe rien.
[Intervenant 4]
Bah du coup c'est assez immersif, le style fait que tu es dedans. Pour moi ça s'appelle le fanfoutail, il y a d'ailleurs 9 films paranormal actifs.
[Intervenant 3]
Ah bah tu m'étonnes, c'est un bon créneau là, t'es pas cher. Je préfère une pub, parce que vendredi prochain, en cas de son coup, il passe la soirée épouvante, il passe Paranormal Activity, et puis REC. Ah oui d'accord, intéressant.
[Intervenant 2]
En salle de cinéma c'est horrible, parce qu'on est obligé de rester.
[Intervenant 1]
Avec le son à fond, tu vas sursauter, c'est horrible. Allez le suivant, il en reste deux.
[Intervenant 4]
Oula, vite vite.
[Intervenant 14]
Non, n'est-ce pas ? Tes souvenirs sont mon énergie.
[Intervenant 8]
Non, par pitié, non.
[Intervenant 4]
Par pitié. Il y a plein d'indices dans le... Qu'est-ce que tu foutais dans ce film, Bruno ?
Ouais, j'adore la petite robe.
[Intervenant 3]
Alors est-ce que ça vous donne des indices ? Non, alors là... Non ?
Non pas du tout. Bah Nancy, moi je suis en train de regarder Stranger Things, mais c'est pas ça.
[Intervenant 4]
Ah non c'est pas ça. Non c'est pas ça. Non ?
Non. Alors là, non pas du tout. Ah il y a des petits bruits derrière aussi, qui donnent des petits indices.
Ah c'est Freddy Krueger ? Ouais c'est Freddy Krueger, c'est Freddy et les griffes de la nuit.
[Intervenant 14]
Avec les griffes des agneaux.
[Intervenant 4]
Exactement, c'est ça. Qu'est-ce que je peux dire ? Bon il y a neuf films aussi.
Ah ouais ? Voilà. Sa particularité réside dans le mélange de cauchemar et réalité, où dormir devient mortel.
[Intervenant 1]
D'accord. Noéval dit le silence des agneaux. Ah oui ça aurait pu, avec une voix un peu...
Allez la dernière. Alors on est terrifiés, mais pas forcément pour les mêmes raisons. C'est quoi ce truc ?
C'est Soso.
[Intervenant 4]
C'est Soso qui chante. Si vous avez vu cette série de films, normalement cette chanson, elle est iconique. Vous savez tout de suite de quel film c'est.
Ah bon ?
[Intervenant 2]
Vous n'avez peut-être pas vu le film. Ah c'est pareil, c'est une série. C'est une saga ?
[Intervenant 4]
C'est une saga de plusieurs films, ouais. De l'horreur. Soso.
Soso 1, Soso 2. Ouais c'est ça. C'est ça, Soso.
Soso et Coup d'envoi. C'est vrai. Est-ce que sur internet il y a des...
[Intervenant 1]
Non. Pas pour l'instant.
[Intervenant 4]
Donc ça ne vous dit rien du tout ? Bah écoute, non. Donne-nous des indices, un petit peu.
Qu'est-ce que je peux dire dessus sans dire que la réponse ? Il y a eu 5 films, tous centrés sur des phénomènes paranormaux, liés à des voyages astraux et des entités démoniaques. Donc on parle plutôt de voyage astral, de désincarnation du coup.
[Intervenant 3]
Alors là je vois pas du tout.
[Intervenant 4]
C'est... Asiatique ? Alors c'est pas asiatique.
C'est vraiment américain. Et donc si je précise un peu plus, sa particularité réside dans l'exploration du monde et des esprits appelés le lointain, où les âmes peuvent se perdre. Et donc tout est basé là-dessus.
Est-ce que ça vous dit quelque chose ? Non, pas du tout. Bon bah c'était Insidious et là c'était...
[Intervenant 1]
Ah j'ai entendu parler mais je connaissais pas l'histoire.
[Intervenant 4]
Et donc c'est un extrait du premier.
[Intervenant 1]
Ah d'accord. Insidious. Insidious.
Bon bah écoute, très bien. Merci pour toutes ces informations. Vous êtes toujours sur Radio G sur 1.5 FM, le DAB Plus ou Internet. Et on vous voit en live également sur Youtube. Si vous voulez nous voir, vous allez chercher Radio G et vous nous voyez. Après avoir goûté aux bonbons de Florian...
Non, Jonathan, on se calme. Revenons sur le côté salé d'Halloween avec Clément 1, qu'on est heureux de retrouver ce soir.
[Intervenant 11]
Clément, Clément, Clément 1, c'est la question de Clément 1. C'est la question de Clément 1.
[Intervenant 1]
Changement de générique.
[Intervenant 2]
C'est la première fois que tu viens cette année, donc tu découvres ton générique. Merci beaucoup. Effectivement, je vais vous parler de gastronomie.
C'est vrai que je t'avais dit salé, mais en fait, il y a aussi du sucré.
[Intervenant 13]
Il y a aussi du sucré aussi.
[Intervenant 2]
Mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est que je ne vais pas parler de bonbons. En tout cas, il n'y aura pas de répétition. Je vais vous donner des noms de plats qui se font pendant Halloween, en tout cas dans la période de la Toussaint, de manière générale.
Et vous allez devoir trouver de quel pays viennent ces plats. Je vais vous faire trois positions de pays par plat. Et vous allez devoir choisir le nom.
Donc, le premier plat, ça s'appelle les gâteaux d'âme. D'âme ? D'âme.
À circonflexe M-E-S.
[Intervenant 1]
Ah, d'âme. Comme les âmes. Pardon ?
D'âme. Comme les âmes. D'âme.
Comme une dame, quoi. Il va donner ses propositions.
[Intervenant 2]
Donc, vous avez soit en Angleterre, Espagne ou Italie.
[Intervenant 1]
Rien à voir. Âme. Espagne.
D'âme.
[Intervenant 2]
Qu'est-ce qu'on s'écrit ? D'âme. Qu'est-ce qu'il y a dedans ?
Alors, c'est un biscuit sec, on va dire, qui peut se faire de différentes façons.
[Intervenant 1]
Ah, c'est ça que ça vient d'Angleterre. Ouais, c'est ça. Avec le T.
Les gâteaux d'âme. C'est ça, ouais. C'est Angleterre.
[Intervenant 2]
C'est Angleterre. C'est bien ça.
[Intervenant 1]
Ok.
[Intervenant 2]
Donc, les soul cakes, c'est en langue originale. Donc, il s'agit, voilà, comme je disais, de biscuits secs de forme ronde qui peuvent avoir différents goûts. Donc, cannelle, chocolat, citron, raisin sec, etc.
C'est une vieille tradition qui est un peu l'ancêtre de la chasse aux bonbons qu'on connaît aujourd'hui, puisqu'à l'époque, c'était les pauvres qui allaient frapper à la porte des gens plus aisés. Et ces gens-là leur offraient ces fameux soul cakes pour qu'ils puissent manger. Et en l'échange de quoi, les pauvres priaient pour les gens qui leur donnaient ces gâteaux.
C'est un peu ça. Bah, ma pie avait trouvé. Bravo, ma pie.
Les toto. Téo, Téo.
[Intervenant 1]
Toto, c'est Mexique.
[Intervenant 2]
Toto, c'est Mexique, Italie ou Argentine.
[Intervenant 1]
Oh, Mexique, alors. Mexique, alors. Moi, je te suis aussi.
Argentine, hein. Toto, ça serait possible. Toto.
[Intervenant 4]
Qu'est-ce que vous en pensez ?
[Intervenant 1]
Mexique. Italie ? Oui, c'est son ito cutonio.
[Intervenant 4]
Ça sonne italien, un peu, quand même.
[Intervenant 2]
Toto. Olivier, t'en penses quoi ? Mexique.
[Intervenant 1]
Moi, Mexique aussi, ouais.
[Intervenant 2]
Eh bien, c'est Italie. Ah, Italie ! Donc, c'est même de Sicile, pour être tout à fait exact.
Donc, ce sont des gâteaux en forme de boule, plutôt spongeux. Ça fait une texture un peu de muffin, avec un glaçage qui couvre l'ensemble du gâteau. Donc, il existe pareil.
Plein de déclinaisons. Chocolat, cannelle, pistache. Donc, les Toto.
Non, c'est pas le Mexique, effectivement. Là, on est sur un plat salé qui s'appelle le Colcanon. Donc, c'est O-L-C-A-2-N-O-N.
Donc là, est-ce que ça vient du Canada, d'Australie ou d'Irlande ? De Colcanon ?
[Intervenant 5]
Oh, c'est l'Irlande.
[Intervenant 2]
Irlande ?
[Intervenant 5]
Irlande, non, ouais. Les Irlandais, pareil, ils font des plats un peu bizarres. Colcanon, oui.
[Intervenant 2]
Le Colcanon ?
[Intervenant 5]
Ouais. C'est un nom irlandais. Colcanon.
[Intervenant 2]
Donc, vous êtes plutôt sur l'Irlande, c'est ça ?
[Intervenant 5]
Ouais.
[Intervenant 2]
Ouais, allez, vas-y. C'est ça, ouais, effectivement. C'est l'Irlande.
Donc, c'est un plat assez basique, à base de pommes de terre, de chou et de beurre. De toute façon, c'est la gastronomie locale. Donc, chacun peut faire à sa façon.
Mais techniquement, alors, ce plat, il est dégusté tout au long de l'année. Mais en fait, à la période d'Halloween et de la Saint-Patrick, ça a une signification particulière. Parce qu'en fait, on peut cacher, à ce moment-là, un objet dans le plat.
Et en fonction de l'objet, ça peut annoncer une certaine fortune, on va dire. Donc, par exemple, si vous mettez une blague, il y a des chances que vous soyez marié dans l'année. Si c'est une pièce de monnaie, vous allez être riche.
Enfin, voilà, ça joue un peu sur la superstition. Donc, à ce moment-là de l'année. Et donc, le dernier plat.
On se pète les dents. Voilà, aussi. Mais tu vas te marier.
Mais tu vas te marier. On a le pain des morts. Donc là, est-ce que ça vient du Japon, d'Inde ou du Mexique ?
[Intervenant 1]
Oh, Mexique, moi, je dirais.
[Intervenant 2]
Ils ont beaucoup de trucs sur les morts.
[Intervenant 3]
Le Japon, il ménère bien les morts, aussi.
[Intervenant 2]
Le Japon. Le Mexique, moi. Alors, c'est entre le Mexique et le Japon.
Donc, c'est le Mexique, effectivement. Donc, le pain des muertos, comme on dit. Pour le coup, ce pain est fait spécialement pour le jour des morts.
Ou dia de los muertos, comme ils disent là-bas. Donc, c'est une sorte de brioche qui peut avoir un goût de fleur d'oranger. Et il se démarque par sa forme, avec sa base ronde, assez classique.
Mais avec des bosses qui forment d'une croix. Et donc, ça, ça représente le crâne et les os des défunts qui sont célébrés durant cet événement. Et donc, les Mexicains, soit en font offrande sur les hôtels des gens qu'ils ont perdus.
Soit, ils les dégustent en famille pour fêter ça.
[Intervenant 1]
Et vous avez vu, ça n'a l'air pas fort. Si vous nous suivez sur Internet, tu en as tout ce qu'il suffit à voir à la caméra.
[Intervenant 2]
Les Mexicains, ils font de la bonne nourriture, globalement. Oui, c'est ça. Donc, on va changer un petit peu.
Si on parle d'Halloween, à quels légumes cela vous fait penser, spontanément ?
[Intervenant 5]
À la citrouille.
[Intervenant 2]
Tout à fait. Pas de réponse. Et donc, c'est culture bitassée que l'on creuse pour dessiner des visages qui font peur.
Mais savez-vous sur quels légumes étaient dessinés ces visages avant que ce ne soit un citrouille ? Parce qu'initialement, ce n'est pas des courges.
[Intervenant 3]
On a fait une chronique là-dessus.
[Intervenant 2]
Oui, c'était quoi déjà ? Des courges, non ? C'est Florian qui l'avait fait.
Oui, c'est des courges. C'est plutôt un légume oublié, on va dire.
[Intervenant 10]
C'est Wikipédia.
[Intervenant 2]
Genre du panais. C'était hollandais à l'origine.
[Intervenant 10]
Oui, le panais.
[Intervenant 2]
Au niveau du son, c'est le chou. Ça se rapproche du panais, au niveau du sonore. Navet.
Navet. C'est le navet, tout à fait. La citrouille est-elle un fruit ou un légume ?
[Intervenant 1]
Il y a des pépins dedans.
[Intervenant 2]
Au supermarché ou pour les biologistes ?
[Intervenant 5]
Si c'est des pépins, c'est un fruit.
[Intervenant 2]
Oui, c'est un fruit, oui. C'est ça. C'est vrai qu'en général, on le définit comme un légume.
C'est un peu comme la tomate, on dit que c'est un légume. Mais en fait, d'un point de vue...
[Intervenant 1]
Mais c'est vraiment comestible ? Oui, c'est comestible.
[Intervenant 2]
La citrouille ? La citrouille, oui, tout à fait. Puis c'est même très bon pour la santé.
Plein de fibres. Question hyper technique. Quelle est la teneur en eau moyenne d'une citrouille ?
70, 80 ou 90 % ?
[Intervenant 1]
Ah oui, c'est 90. 90, ça fait beaucoup. 80 au moins.
80 %, ça ? 90. C'est vraiment que de l'eau.
On vous entend. On n'arrête pas d'entendre les bruits, on se voit dans le cinéma.
[Intervenant 2]
Arrêtez de bouger les papilles, mangez des bonbons. Quel est le poids de la plus lourde citrouille jamais pesée ?
[Intervenant 5]
Ma copine est en Espagne en ce moment. Elle m'a annoncé qu'il y avait un concours ce week-end de la citrouille la plus lourde. Et c'était un truc genre 50 kg.
[Intervenant 2]
Là, ici, j'ai trois propositions. C'est 900, 1250.
[Intervenant 3]
1000, c'est 5 kg.
[Intervenant 1]
1 tonne 5. Mais t'as vu comment elles sont grandes. Elles font au moins 1 mètre de haut, 2 mètres de haut.
Au moins la taille du bureau. C'est énorme les photos qu'on voit de citrouilles.
[Intervenant 3]
Déjà 1 tonne, c'est énorme.
[Intervenant 5]
Justement, ça pèse vachement.
[Intervenant 2]
Comment tu découpes ça ? 1250 ? 900.
On valide. On est à 1250.
[Intervenant 5]
1 tonne 5. 1 tonne 2.
[Intervenant 1]
C'est une bagnole le truc. Pour un grand jardin.
[Intervenant 2]
Quel pays est le premier producteur de citrouilles dans le monde ? Est-ce que c'est la Chine, les Etats-Unis ou le Mexique ?
[Intervenant 1]
Les Etats-Unis. Les Etats-Unis, parce qu'ils l'ont utilisé pour Halloween le petit. Donc peut-être les Etats-Unis.
[Intervenant 2]
Effectivement, c'est la Chine. Il n'y a que les Etats-Unis qui sont des gros consommateurs de citrouilles, notamment à cette période-là. C'est effectivement la Chine.
Question subsidiaire. Quel pays européen est le plus gros producteur ?
[Intervenant 1]
L'Angleterre.
[Intervenant 2]
La Chine.
[Intervenant 1]
Il faut que ce soit au même niveau. Non, c'est peut-être trop l'Angleterre par rapport à la Chine.
[Intervenant 2]
La Pologne.
[Intervenant 1]
Oui, c'est plus sud du coup. L'Espagne. L'Espagne.
Un peu plus à l'est. En Europe ? Le Portugal.
À l'est, oui. L'Italie ? L'Italie.
C'est l'Italie qui produit le plus de citrouilles. Ah d'accord. Voilà.
[Intervenant 2]
On en a appris des choses. Je préfère les pizzas.
[Intervenant 1]
Allez, on a vu avec Jonathan que le cinéma aimait nous faire peur, mais il aime aussi le mot peur, tout simplement. Voici la chronique d'Olivier.
[Intervenant 12]
C'est la question d'Olivier. C'est la question d'Olivier. Oui, oui, oui, oui, oui.
[Intervenant 3]
Il y a toujours une super couche. Une deuxième petite couche derrière. Allez, on va chercher un titre de film avec le mot peur dedans.
C'est facile. Il y a quelques films un peu durs quand même. Le premier, allez, pour se mettre en bouche.
Je vais faire pyramide. Je vais vous donner trois mots. Fossil.
Fossil. Marteau. Pardon, c'est pas.
Non.
[Intervenant 1]
C'est le mot de passe en fait.
[Intervenant 3]
La cité de la peur. Ça aurait pu être mon deuxième mot, oui.
[Intervenant 1]
La cité de la peur, oui.
[Intervenant 3]
Ah oui. La cité de la peur. Mais oui, juste un doigt.
Un film.
[Intervenant 2]
Un grand film.
[Intervenant 3]
D'ailleurs, on a fêté, c'est 30 ans. C'est sorti en 1994.
[Intervenant 2]
30 ans. T'imagines.
[Intervenant 3]
On l'a revu il y a plus de 30 ans. Ouais. 30 ans.
J'aurais pu dire aussi Cannes. Ça se passe à Cannes. C'est un festival nul et tout.
Mais Fossil, Marteau avec le tueur. Qu'est-ce que c'était ton film ? Il y a Kayoka.
Kulut. Bien sûr. Alors, plus dur.
Camion. Poète, poète.
[Intervenant 1]
J'y pensais pas. J'y pensais forcément.
[Intervenant 3]
Là, on est sur un vieux film.
[Intervenant 1]
Camion. Je pense que mapie peut l'avoir. Avec peur.
Ah, peur sur la ville. Alors non. Ah, le salaire de la peur.
[Intervenant 3]
Oui, bien. C'est un camion où il transporte la nitroglycérine.
[Intervenant 1]
C'était mon deuxième mot, nitroglycérine.
[Intervenant 3]
Troisième mot, c'était rémunération.
[Intervenant 1]
Mais il y a un remake qui a été fait.
[Intervenant 3]
Alors, c'est ce que j'allais dire. Pardon. Effectivement, sur Netfix et Zartilon dernier, ça je ne savais pas du tout.
Un film Netfix. Ça envoie du lourd. Un Franck Gaston Bide.
Le noir. Déjà, ça... C'est de l'action.
Ça donne pas envie de le voir.
[Intervenant 13]
Surtout.
[Intervenant 3]
C'est méchant. Je pensais que... C'est méchant.
Mais bon, je ne sais pas. J'ai voulu regarder sur Alusnir, mais c'est vrai. Mais bon, à la vie, c'est pas...
C'est au Batman 2.
[Intervenant 13]
Sur 2.
[Intervenant 3]
2 sur 5. Ce que je ne savais pas, c'est le seul film à avoir remporté à la fois la Palme d'Or et l'Ours d'Or à Berlin. Ça ne s'est jamais arrivé.
C'est le seul film qui a remporté le prix du meilleur film dans deux festivals de cinéma. C'est un film d'Henri-Georges Clouseau de 1953 avec Yves Montand et Charles Vanel. Il n'y a pas Franck Gaston Bide déjà dans celui-là ?
[Intervenant 13]
Non.
[Intervenant 3]
C'était son grand-père peut-être. Troisième film. Je vous dis Tueur en série.
Scream ? Non, il y a peur dans le film. Alors Minos.
Peur. Ce qui est marrant, c'est que vous l'avez dit tout à l'heure. Peur sur la ville.
Peur sur la ville, oui. Film d'Henri Verneuil de 1960.
[Intervenant 1]
Mappi a raison, mais elle avait répondu sur la question d'avant.
[Intervenant 3]
Mais du coup, ça marche aussi. Elle est juste très précoce. Elle est lente ici.
Alors là, il n'y a pas le mot peur, mais c'est un mot synonyme. Si je vous dis Venezuela. Morsure.
[Intervenant 1]
Dracula.
[Intervenant 3]
Araignée. C'est un synonyme de peur, Dracula.
[Intervenant 1]
Venezuela, il y a une araignée.
[Intervenant 3]
C'est un peu ce que tu avais dit, Clément, tout à l'heure. C'est la peur des araignées. Oui, donc c'est à l'arachnophobie.
Arachnophobie. Ou arachnophobia en anglais. C'est un film de 1991.
Un film d'horreur. D'accord.
[Intervenant 1]
Il y a un film récent aussi qui était sorti avec des araignées français. Il y en avait plein dans l'appartement. C'était assez sympa.
Sinon, vous allez chez Clémentet.
[Intervenant 3]
Amazon. Oui, c'est ça. Là, beaucoup plus dur.
Moi, je l'avais vu au cinéma il y a très longtemps. Sorti en 2002. Je ne sais pas si vous le connaissez.
Ça s'appelle Tom Clancy. C'est un film tiré d'une œuvre de Tom Clancy. Il a fait pas mal d'échecs rayon tout sales.
Non, ça ne vous parle pas ? Non. Bombe nucléaire.
Il y a peur dedans, c'est ça ?
[Intervenant 4]
Oui.
[Intervenant 3]
Et Ben Affleck.
[Intervenant 4]
Ben Affleck.
[Intervenant 3]
La peur... La peur suprême, c'est la peur de la bombe nucléaire. Il y a des bombes nucléaires qui explosent au moment du film.
D'accord. En anglais, ce qu'il a fait, c'est The sum of all the fears. Et en français...
Le soleil de toutes les peurs ? Le soleil de la peur ? Non, le soleil.
The sum. Ah, The sum. The sum of all the fears.
Le sum de toutes les peurs. Oui, la somme de toutes les peurs.
[Intervenant 10]
Ah, la somme de toutes les peurs. Super film.
[Intervenant 3]
Pas mal de film. Tu l'as vu ?
[Intervenant 13]
Non.
[Intervenant 3]
Non, mais j'ai bien aimé. Mais il faut les jetons. Parce qu'en fait, c'est des terroristes qui au final ont piqué une vieille bombe nucléaire qui a fait exploser aux Etats-Unis.
Ah. Et ils font croire que c'est les Russes qui ont fait le coup. Donc après, c'est tout ça pour...
[Intervenant 1]
D'où la réponse de Lapi qui dit peur de Poutine sur le chat.
[Intervenant 3]
C'est pour entamer une guerre nucléaire. Accuser les Russes pour qu'il y ait un vrai conflit nucléaire. Peur ?
[Intervenant 1]
Non.
[Intervenant 3]
Voilà. C'est bon.
[Intervenant 1]
Bah écoutez. C'est bien. Ouais, ouais.
Parfait. OK. Jonathan, c'est quoi maintenant ?
Ah, c'est la question coquine. Ah bah quand même.
[Intervenant 8]
Bonsoir les coquinous. C'est l'heure de la question coquine. Vous en avez de la chance.
Voici la question du jour. Parlons de phobie. Est-ce que la peur de voir un pénis en érection existe-t-elle ?
Et si oui, comment pourrait-elle s'appeler cette phobie ?
[Intervenant 1]
Alors, est-ce que ça existe, la peur de voir un pénis en érection ?
[Intervenant 4]
Attends, t'as les noms à la trottinette, là, chez Poutine.
[Intervenant 1]
C'est vrai. La péno... La pénis à brouette, c'est pas non plus, ouais.
Non, mais c'est sûr que ça existe. Pénodurophobie. Alors ça finit par phobie, je pense.
[Intervenant 4]
Oui. On est à peu près d'accord. Fallot, quelque chose.
[Intervenant 1]
Triathlisme.
[Intervenant 5]
Fallot-érecto. La fallophobie.
[Intervenant 4]
La fallophobie.
[Intervenant 5]
Il manque le côté érection. La priapis.
[Intervenant 10]
La priapophobie.
[Intervenant 2]
Priaprophobie. Non, non, non.
[Intervenant 5]
Priapophobie à l'instant.
[Intervenant 1]
Pourquoi la rocophobie ?
[Intervenant 5]
Oh, il fait genre de pas comprendre.
[Intervenant 1]
Oh, c'est mignon. C'est la culture.
[Intervenant 5]
Exactement. C'est la rococifrophobie.
[Intervenant 1]
L'érectophobie. L'érectophobie, la bandophobie. Qu'est-ce qu'il pourrait y avoir ?
[Intervenant 3]
Elle doit fallutre de voir un sexe dur, c'est ça ?
[Intervenant 1]
Ce n'est pas forcément la personne qui a peur de voir. Peut-être aussi, je ne sais pas. C'est bon.
[Intervenant 2]
On a des suggestions dans le chat, je crois.
[Intervenant 1]
La priapophobie, oui, dans le chat. Le priarisme de rester tout le temps en érection.
[Intervenant 2]
La priapophobie.
[Intervenant 1]
La priapophobie, oui. Bon, on va écouter la réponse.
[Intervenant 8]
Les hommes comme les femmes peuvent en souffrir. Chez les hommes, c'est une peur d'avoir une érection qui se développe. Chez les femmes, le fait de toucher ou de voir le pénis d'un homme est source d'angoisse.
Cette phobie existe. Et cette peur du pénis en érection s'appelle la phallophobie. Il existe aussi la génophobie, peur des actes sexuels.
La coïtophobie, peur de la pénétration. Et l'érotophobie, peur de tout ce qui touche au sexe. Lui, il n'avait peur de rien.
J'en profite pour saluer un coquinou qui vient malheureusement de nous quitter. Il n'était pas le dernier pour s'amuser. Bruno en sait quelque chose.
Enfin, moi je dis ça, je dis rien. Et puis, c'était au siècle dernier, il y a prescription. En tout cas, où qu'il soit, je suis sûre qu'il nous écoute.
Et je l'embrasse. Allez, à bientôt les coquines, pour une nouvelle question coquine.
[Intervenant 1]
Ah d'accord, on ressort les doses. Ok, on va passer tout de suite à la question suivante. C'est le personnage mystère.
[Intervenant 11]
Et avec les commentaires, va vous la victoire.
[Intervenant 1]
Au passage, vous aviez raison, c'était la falafel. C'est Clément qui va être la personne mystère à découvrir ce soir. Bonjour à tous.
[Intervenant 5]
Je vais vous parler de moi, mais à vous de deviner qui je suis. J'ai toujours été quelqu'un de passionné. Quelqu'un qui aime communiquer, échanger, transmettre.
Ma voix, je l'ai trouvée dans l'engagement et le partage. J'ai consacré ma vie à défendre ceux qui en avaient besoin, à ouvrir des portes, à créer des espaces de bienveillance. J'ai commencé dans les années 80 et 90, à une époque où tout était à construire.
J'ai eu la chance de pouvoir m'exprimer à travers les ondes, dans une ville que j'aime profondément. En 2023, j'ai repris une émission qui me tenait particulièrement à cœur. Mais mon engagement est allé bien au-delà du micro.
J'ai été président d'une association Angevine. Cette association porte un nom évocateur, un peu mystérieux. Ces dernières années, j'ai été coordinateur de cette même association, tout en restant bénévole très actif.
J'étais référent pour plusieurs pôles, juridique, éducation et formation, et santé sexuelle. Mon combat était clair, défendre les droits des personnes LGBTI+. J'étais porte-parole de la fédération LGBTI+, et président d'Interpride France.
J'ai participé aux grandes mobilisations, le mariage pour tous, le soutien aux familles homoparentales, la lutte contre les discriminations liées au VIH, ou encore l'accompagnement des personnes trans. On m'a décrit comme quelqu'un de profondément humaniste, reconnu pour mon écoute, ma rigueur et mon engagement sans relâche. Le 31 décembre dernier encore, j'étais en direct à l'antenne pour souhaiter bonne année aux auditeurs.
Je vous ai quitté ce lundi 27 octobre 2025, mais comme c'est votre thème de ce soir, je serai célébré le jour d'Halloween, vendredi 31 octobre à 14h, en l'église Saint-Martin-des-Champs, à Angers. Alors, qui suit ?
[Intervenant 1]
Est-ce que vous avez trouvé, du coup, quand même ? Alors, qui dit son nom ? Oui ?
[Intervenant 10]
C'est Stéphane Corbin.
[Intervenant 1]
C'est ça, tout à fait. Alors, qui le connaissait autour de la table ? Alors, il était animateur, si on en parle, parce qu'il était animateur aussi à Radio G, il était animateur avant à Angers 100, il était même travaillé à Angers 100, il était là-bas.
Et donc, Florian, tu l'as eu souvent, tu l'as côtoyé souvent avec Ed ?
[Intervenant 10]
Oui, avec Quasar, du coup, dans les réunions Quasar, et je suis intervenu aussi dans son émission, Quasar en Isière, du coup, qu'il faisait à l'époque, à l'occasion du 1er décembre, souvent, puisque je parlais de VIH, de sidérite, d'hépatite et de DST. À l'époque, du coup, j'étais invité, mais oui, on s'est vus souvent.
[Intervenant 1]
Tu le voyais aussi à chaque Pride ?
[Intervenant 10]
Ah oui, les Saint-Aumônes le voyaient à la Pride, du coup.
[Intervenant 1]
Il faisait partie de l'organisation aussi, un petit peu.
[Intervenant 10]
Il prenait la parole en premier, c'était des discours très, très, très enflammés, des discours très, très longs, mais oui, très justes aussi, du coup.
[Intervenant 4]
Alors, tu l'as vu pour la première fois au 31 décembre, Jonathan ? Effectivement, et effectivement, tu me rappelles aussi la Pride, le passage avec les discours. Oui, tu l'as vu aussi.
[Intervenant 1]
Alors, raconte, parce que... On avait très peur, effectivement, puisqu'on nous écoute, fais attention.
[Intervenant 4]
On était au studio, je crois, autour de 22h-23h, et puis je crois que c'était sur le chat, du coup. On a eu un petit message disant que quelqu'un allait passer, et on ne savait pas qui c'était, puisque du coup, c'est anonyme comme chat. Et effectivement, il est arrivé à ce moment-là.
Et on a un peu sursauté, effectivement.
[Intervenant 5]
Avec son chien.
[Intervenant 1]
En plus, il avait les codes, donc du coup, il est revenu, il est arrivé à la porte du studio, et dans le petit hublot, il était là, il faisait coucou dans le noir et tout.
[Intervenant 13]
Et nous, il était presque minuit. C'est limite à Louis, il n'a pas le coup.
[Intervenant 1]
Effectivement. Clément, vous ne le connaissiez pas du tout ? Non, je ne l'ai jamais rencontré.
[Intervenant 5]
Moi, j'ai appris tout à l'heure avec Olivier, ils m'ont parlé, mais je ne le connaissais pas d'avant. D'avant ? D'accord.
Olivier, tu le connaissais aussi beaucoup ?
[Intervenant 3]
Oui, je l'ai connu grâce à toi. Et puis après, c'était un ami aussi. Moi, je pense que c'est combattant.
C'était vraiment un militant, un combattant.
[Intervenant 1]
Il est de toutes les luttes. Tout à fait. Il nous manquait beaucoup.
Oui, je l'ai connu il y a très longtemps, au siècle dernier. Il était prêt à se battre. Il a même fait une grève de la faim.
Oui, c'est ce que je lui racontais. On l'a vu. Oui, on l'a allé voir.
On l'a vraiment beaucoup suivi. Je vous avoue que cette émission était un petit peu difficile pour moi, c'est pour ça que je ne vais pas faire de chronique spécifique ce soir. Stéphane est animateur de la station, c'était surtout mon ami depuis 30 ans.
Je suis nul dans les discours. Il était bien meilleur que moi sur ce terrain. Je vous propose pour se quitter de l'écouter dans la dernière émission qu'il a réalisée sur Radio G.
Entre autres sujets, dans cette dernière émission de novembre 2023, il faisait un hommage pour un autre personnage de la radio. Et à réécouter, cet hommage aurait très bien pu être pour lui. Va en paix, mon ami.
On vous souhaite une très bonne soirée. Et on se retrouve dans 15 jours.
