Il regardait les étoiles, mais voyait bien plus que des points lumineux dans l’immensité du ciel. Camille Flammarion, astronome, vulgarisateur de génie et écrivain visionnaire, fut aussi un explorateur des mondes invisibles.
Dans ce second volet, avec Jonathan Giné, nous quitterons les télescopes et les cartes du ciel pour plonger au cœur de ses convictions les plus profondes : celles d’un homme persuadé que la mort n’est pas une fin, mais une transformation.
Flammarion s’interrogeait sur l’âme, sur sa survie après la mort, sur la possibilité de communiquer avec l’au-delà.
Il s’intéressait aux expériences médiumniques avec Allan Kardec, aux manifestations inexpliquées, et rêvait d’un dialogue entre science et spiritualité.
Pour lui, la vie humaine n’était qu’une étape d’un grand voyage cosmique, une évolution de conscience à travers les mondes.
Et si Camille Flammarion avait, avant l’heure, entrevu cette vérité que la science moderne commence tout juste à effleurer : que tout, dans l’univers, est vibration, énergie… et conscience.
